Le voyage imaginaire

Une course imaginée autour du monde. Je pense à la traversée du Cap Horn … Je vis l’océan comme une évidence, fatal et divin à la fois.

98 x 68 cm dans caisse américaine noire - pièce unique.

Papier, encre, acrylique, pastel sur support bois.

Août 2023

à l’atelier

demande disponibilité et prix

Il fait partie d’une série intitulée « Et les sirènes chantent ». Un travail sur le voyage et l’océan, cherchant à mettre en images le journal de bord mon arrière grand-mère, Marie-Joséphine.

UN HÉRITAGE FAMILIAL

Issue d’une longue lignée de marins du côté de mon père, dont un couple de Cap-horniers, mes arrières grands-parents. Le compteur de mon ancêtre Marie-Joséphine relevant trois tours du monde de 1905 à 1908 en compagnie de son beau capitaine Pierre Stephan.

Cette série est un hommage à cette aventure extraordinaire vécue par ma famille. Chaque tableau est une ode à la mer, à la navigation et à la vie des marins. À travers ce travail, je cherche à transmettre les émotions ressenties par mes ancêtres lors de leurs voyages : la beauté envoûtante des océans, le sentiment de liberté infinie sur les flots, mais aussi les tempêtes déchaînées et les moments de solitude intense.

Laissez-vous vous transporter dans un autre temps, une époque où la navigation était une aventure risquée et mystérieuse. Vous pourrez presque sentir les flocons caresser votre visage, entendre le grincement des voiles et ressentir l’excitation palpable de l’équipage lorsqu’ils approchaient de terres lointaines.

LA BEAUTÉ FRAGILE DE NOS MERS

Au delà de partager l’héritage de ma famille, j’espère que cette série suscitera chez vous la même fascination pour l’océan et ses mystères, et vous rappellera l’importance de préserver notre fragile écosystème marin.

Alors embarquez avec moi dans ce voyage pictural à travers les différentes œuvres de ce journal de bord fictif, et laissez-vous emporter par la magie des sirènes qui chantent au rythme des vagues.

Gwenaëlle Le Mée

Gwenaëlle Le Mée est une artiste plasticienne, diplômée en Arts Plastiques à la Sorbonne, son chemin de vie l’a également conduite au journalisme et à l’édition.

L'univers de Gwenaëlle Le Mée touche l'onirisme où elle se donne une totale liberté de création, mêlant photographie, sculpture de la matière et peinture. Sa technique relève d'une alchimie dont le dosage résulte d'explorations multiples à travers les arts. Chaque médium est réinventé, juxtaposé, détourné, pour créer une matière vibrante.

Gwenaëlle Le Mée est lauréate du prix Jean Larivière de la Société nationale des Beaux-Arts remis à l’Orangerie du Sénat en juin 2024.

https://www.gwenaellelemee.com
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