“En assumant l’imperfection, je cherche à redonner du sens à l’image. Je soulève ainsi la question de notre fragilité, humaine et environnementale, et celle de la beauté qui naît des cicatrices.”

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Gwenaëlle Le Mée a reçu le prestigieux Prix Jean Larivière à l’Orangerie du Sénat au Salon National des Beaux Arts 2024.

Les oeuvres de l’artiste plasticienne sont exposées à la galerie Bettina dans le quartier Saint-Germain des Près à Paris et à la galerie Sophie Le Mée dans l’île de Ré.

Sublimer les blessures

Diplômée en Arts Plastiques à la Sorbonne, l'univers de Gwenaëlle Le Mée touche à l'onirisme où elle se donne une totale liberté de création, mêlant photographie, sculpture de la matière et peinture. Sa technique relève d'une alchimie dont le dosage résulte d'explorations multiples à travers les arts. Chaque médium est réinventé, juxtaposé, détourné, pour créer une matière vibrante.

“La photographie est ma base première. Je transfère ensuite le tirage sur bois, matière vibrante qui me permet de poncer, ciseler, voire « abîmer » l’image pour ensuite la réinventer à travers des glacis, des encres, de la peinture, du pastel, de la feuille d’or, etc. selon mon inspiration. Les incidents de transfert sont alors “sublimés” pour donner vie à une œuvre unique, telle notre propre existence. Je tente de retranscrire ma perception et mes ressentis au moment de la prise de vue, en laissant le hasard jouer son rôle dans le processus créatif. La photographie devient alors matière et émotion.”

Le relief créé, dans une totale liberté, laisse transparaitre les blessures, l'usure du temps, les accidents, dans une harmonie recomposée. La vision sublimée de notre monde d'aujourd'hui.   

" La vie est éphémère où tout est mouvement et transformation selon ce que nous décidons d'en faire. Cette impermanence de l’existence devrait nous inciter à vivre passionnément le moment présent et à croire à nos rêves. Nous souffrons tous de blessures émotionnelles, issues de nos expériences de l’enfance, qui forment notre personnalité adulte. Sortir de nos schémas familiers, déposer ces bagages, n'est pas simple. L'amour, la douceur et la beauté sont des ingrédients salvateurs. C'est là où mon travail de plasticienne prend forme comme un soin, si je puis dire, artistique. En partant du monde réel, expérimenter encore et encore, accepter les failles, les accidents, observer, évoluer en prenant du recul pour enfin sublimer les blessures.”

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Portrait d'une femme souriante assise sur un escabeau dans un atelier d'art avec plusieurs toiles et cadres derrière elle.

Parcours

Née en 1967, une enfance entre Antibes, dans le sud de la France, et des vacances au Pays du Léon (Finistère Nord), une carrière professionnelle à Paris et au delà des mers, Gwenaëlle Le Mée vit à présent sur l’île de Ré, face à l’océan Atlantique.
Son intérêt pour l’art était au départ une douce esquisse, une récréation et une ambiance familiale. Ce goût pour l’esthétique est entré assez vite dans sa vie professionnelle.


Journaliste, directrice artistique, éditrice, ses matières de prédilection ont toujours été l’image et les mots mis en rythme dans un texte, une maquette, un montage, une émission ou un ouvrage.
Puis est arrivé le temps de la tentation nécessaire à l’expérimenter, à l’éprouver, à le pratiquer. De divers cours de techniques et ateliers suivis à Paris et à l’étranger – une longue expatriation entre Doha et Beyrouth – en passant par l’obtention d’une licence en arts plastiques à l’université Panthéon-Sorbonne à Paris, son choix s’était incliné tout d’abord à l’abstraction, ouverture à toutes les libertés. La redécouverte de son vieux boitier Olympus argentique au fond d’une caisse l’a remis au goût de l’objet, de la technique. Une évidence.

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Où retrouver ses oeuvres uniques toute l’année

Vitrine d'une galerie d'art appelée Bettina, avec une personne en manteau marron parlant au téléphone, et des œuvres d'art exposées à l'intérieur.
Intérieur avec des poteries colorées, un tableau avec paysage, vue sur une rue pavée avec des bâtiments blancs et des volets bleus à travers une fenêtre.
  • 2, rue Bonaparte

    75006 Paris

    du lundi au vendredi, 14h – 19h
    samedi, 11h – 19h

    Métro : Saint-Germain-des-Prés (Ligne 4)
    Bus : 39 et 95 (station Jacob)

    www.galeriebettina.com

  • 42, rue Charles Biret
    17630 La Flotte
    Ile de Ré – France

    www.galeriesophielemee.com

Suivez l’ajout de ses dernières œuvres sur son compte Instagram