Série “Libre Jeu”

Une série inédite qui a été sélectionnée et présentée au Salon des Beaux-arts en décembre 2025 au Réfectoire des Cordeliers, Paris 6e.

♥ 𝙇𝙚 𝙨𝙖𝙗𝙡𝙚 𝙙𝙚𝙫𝙞𝙚𝙣𝙩 𝙪𝙣𝙚 𝙥𝙖𝙜𝙚 𝙗𝙡𝙖𝙣𝙘𝙝𝙚, 𝙡𝙖 𝙢𝙚𝙧 𝙪𝙣 𝙘𝙧𝙖𝙮𝙤𝙣 𝙙𝙞𝙨𝙩𝙧𝙖𝙞𝙩 𝙦𝙪𝙞 𝙢ê𝙡𝙚 𝙟𝙚𝙪 𝙚𝙩 𝙝𝙖𝙨𝙖𝙧𝙙. 𝘾’𝙚𝙨𝙩 𝙡’𝙞𝙣𝙨𝙩𝙖𝙣𝙩 𝙛𝙧𝙖𝙜𝙞𝙡𝙚 𝙤ù 𝙡’𝙚𝙖𝙪 𝙨𝙚 𝙧𝙚𝙩𝙞𝙧𝙚, 𝙡𝙖𝙞𝙨𝙨𝙖𝙣𝙩 𝙙𝙚𝙧𝙧𝙞è𝙧𝙚 𝙚𝙡𝙡𝙚 𝙙𝙚𝙨 𝙩𝙧𝙖𝙘𝙚𝙨 𝙘𝙤𝙢𝙢𝙚 𝙙𝙚𝙨 𝙚𝙨𝙦𝙪𝙞𝙨𝙨𝙚𝙨 𝙤𝙪𝙗𝙡𝙞é𝙚𝙨, 𝙙𝙚𝙨 𝙛𝙧𝙖𝙜𝙢𝙚𝙣𝙩𝙨 𝙙𝙚 𝙢é𝙢𝙤𝙞𝙧𝙚.
𝙊𝙣 𝙥𝙚𝙪𝙩 𝙖𝙥𝙚𝙧𝙘𝙚𝙫𝙤𝙞𝙧 𝙪𝙣𝙚 𝙩𝙧𝙖𝙘𝙚 𝙙𝙞𝙨𝙘𝙧è𝙩𝙚 𝙙’𝙪𝙣 𝙫é𝙡𝙤, 𝙘𝙤𝙢𝙢𝙚 𝙪𝙣𝙚 𝙨𝙞𝙜𝙣𝙖𝙩𝙪𝙧𝙚 𝙡𝙖𝙞𝙨𝙨é𝙚 𝙥𝙖𝙧 𝙪𝙣 𝙥𝙖𝙨𝙨𝙖𝙣𝙩 𝙞𝙣𝙫𝙞𝙨𝙞𝙗𝙡𝙚.

𝘾𝙚𝙨 œ𝙪𝙫𝙧𝙚𝙨 𝙟𝙤𝙪𝙚𝙣𝙩 𝙖𝙫𝙚𝙘 𝙣𝙤𝙨 𝙥𝙚𝙧𝙘𝙚𝙥𝙩𝙞𝙤𝙣𝙨 : 𝙨𝙤𝙣𝙩-𝙚𝙡𝙡𝙚𝙨 𝙙𝙚𝙨 𝙙𝙚𝙨𝙨𝙞𝙣𝙨 ? 𝘿𝙚𝙨 𝙥𝙚𝙞𝙣𝙩𝙪𝙧𝙚𝙨 ? 𝘿𝙚𝙨 𝙥𝙝𝙤𝙩𝙤𝙜𝙧𝙖𝙥𝙝𝙞𝙚𝙨 ? 𝙀𝙡𝙡𝙚𝙨 𝙨𝙤𝙣𝙩 𝙩𝙤𝙪𝙩 𝙘𝙚𝙡𝙖 à 𝙡𝙖 𝙛𝙤𝙞𝙨. 𝙇𝙚 𝙜𝙚𝙨𝙩𝙚 𝙙𝙚 𝙥𝙞𝙣𝙘𝙚𝙖𝙪 𝙦𝙪𝙚 𝙟’𝙖𝙞 𝙞𝙣𝙩𝙧𝙤𝙙𝙪𝙞𝙩 𝙚𝙣 𝙩𝙧𝙖𝙣𝙨𝙥𝙖𝙧𝙚𝙣𝙘𝙚 𝙖𝙟𝙤𝙪𝙩𝙚 𝙪𝙣𝙚 𝙙𝙞𝙢𝙚𝙣𝙨𝙞𝙤𝙣 𝙩𝙖𝙘𝙩𝙞𝙡𝙚, 𝙘𝙤𝙢𝙢𝙚 𝙨𝙞 𝙡’𝙤𝙣 𝙥𝙤𝙪𝙫𝙖𝙞𝙩 𝙚𝙛𝙛𝙡𝙚𝙪𝙧𝙚𝙧 𝙘𝙚𝙨 𝙩𝙧𝙖𝙘𝙚𝙨 𝙙𝙪 𝙗𝙤𝙪𝙩 𝙙𝙚𝙨 𝙙𝙤𝙞𝙜𝙩𝙨. ♥

- Libre jeu I
42 x 59,4 cm / contrecollé sur dibond avec caisse chêne 47 x 64 cm
Tirage sur papier Hahnemühle Muséum Etching aux bords frangés - édition limitée 5/5

- Libre jeu II
32,9 x 48,3 cm / contrecollé sur dibond avec caisse chêne 38 x 53 cm
Tirage sur papier écologique Hahnemühle Hemp - édition limitée 5/5

- Libre jeu III
30 X 40 cm / Transfert sur tissu, papier, pigments aquarelle, fil doré, encadrement sous verre - pièce unique

Salon des Beaux Arts, Réfectoire des Cordeliers, Paris 6e

Libre jeu I , est tiré sur un papier Hahnemühle Muséum Etching aux bords frangés. C’est un papier finement texturé, dotée d'une structure feutrée qui offre une présence presque tactile. Libre jeu I déploie ses lignes comme une partition visuelle. Ce n’est plus seulement une photo, mais une surface travaillée, où la lumière joue avec les ombres soulignées d’ocre jaune, comme si chaque grain de sable avait été caressé par la pointe d’un outil. On peut apercevoir une trace discrète d’un vélo (au milieu), comme une signature laissée par un passant invisible.

Libre jeu II , plus intimiste, est imprimé sur le papier écologique Hahnemühle Hemp (composé de 60% de fibres de chanvre et 40% de coton) contrecollé sur Dibond. Le choix de ce support, à la fois résistant et respectueux, renforce l’idée d’une nature qui se révèle et se préserve. Les traces y apparaissent comme des fragments de mémoire. Libre jeu II concentre cette même tension entre spontanéité et maîtrise, avec l’impression que la mer a laissé derrière elle non pas une simple empreinte, mais une texture, une présence.

Libre jeu III , pièce unique. Un clin d’oeil au Polaroïd de notre enfance.

Série “Libre Jeu”

S'aimer à tout vent